Il s'agit bel et bien d'une catastrophe pour ce qui reste de respiration démocratique dans ce pays. La disparition de " Là-bas si j'y suis " c'est un contre-pouvoir qui tombe. Le dogme libéral s'en trouve renforcé, ce foyer d'hérésie et d'hérétiques étouffé. Comparable à la disparition d'un quotidien...c'est grave.
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